Entre rire et larme…"Battons-nous. Cherchons le beau, le vrai. Ayons enfin le courage des larmes. Et révérons la vie. Théodore Monod"

petite humeurmétéo de ce dimanche soir…en douceur pour cette fin de soirée

 

je veux dire j’aime Verlaine, j’aime cette musique prenante, j’aime Billy Cowie, que j’ai eu la chance de voir à Biarritz, j’aime ces voix si…..j’aime Paris sous la pluie…..enfin j’aime!

  

je veux dire…j’aime Verlaine, j’aime Billy Cowie, (que j’ai vu à Biarritz), j’aime cette musique, j’aime ces voix…et j’aime Paris  sous la pluie….

Khalil Gibran

 Le prophète : extraits   

« Une femme dit alors : Parle-nous de la Joie et de la Tristesse.
Il répondit :
Votre joie est votre tristesse sans masque.
Et le même puits d’où jaillit votre rire a souvent été rempli de vos larmes.
Comment en serait-il autrement ?
Plus profonde est l’entaille découpée en vous par votre tristesse, plus grande est la joie que vous pouvez abriter.
La coupe qui contient votre vin n’est-elle pas celle que le potier flambait dans son four ?
Le luth qui console votre esprit n’est-il pas du même bois que celui creuse par les couteaux ?
Lorsque vous êtes joyeux, sondez votre coeur, et vous découvrirez que ce qui vous donne de la joie n’est autre que ce qui causait votre tristesse.
Lorsque vous êtes triste, examinez de nouveau votre coeur. Vous verrez qu’en vérité vous pleurez sur ce qui fit vos délices.
Certains parmi vous disent : La joie est plus grande que la tristesse », et d’autres disent: « Non, c’est la tristesse qui est la plus grande.
Moi je vous dit qu’elles sont inséparables.
Elles viennent ensemble, et si l’une est assise avec vous, à votre table, rappelez-vous que l’autre est endormie sur votre lit.
En vérité, vous êtes suspendus, telle une balance, entre votre tristesse et votre joie.
Il vous faut être vides pour rester immobiles et en équilibre.
Lorsque le gardien du trésor vous soulève pour peser son or et son argent dans les plateaux, votre joie et votre tristesse s’élèvent ou retombent. »

Extraits  : Le prophète de Khalil Gibran
 ><object width= »425″ height= »344″><param name= »movie » value= »http://www.youtube.com/v/Sx-eI-VV4Gs&hl=fr_FR&fs=1& »></param><param name= »allowFullScreen » value= »true »></param><param name= »allowscriptaccess » value= »always »></param><embed src= »http://www.youtube.com/v/Sx-eI-VV4Gs&hl=fr_FR&fs=1& » type= »application/x-shockwave-flash » allowscriptaccess= »always » allowfullscreen= »true » width= »425″ height= »344″></embed></object>

4 Réponses

  1. Le lampiste

    Hum ! La force de nos sentiments est égale à notre sensibilité. Autant ta tristesse est grande autant ta joie le sera. Ainsi va la vie. Merci pour la belle musique. Belle journée dans la joie pour toi, Eva. Kiso, Raph.

    1 février 2010 à 11 h 08 min

  2. Jazzy

    Je pense que toute sensibilité se nourrit de ces deux émotions.Tour à tour le même paysage peut déclencher en nous tantôt de la joie tantôt de la tristesse mais l\’essentiel n\’est il pas qu\’il déclenche quelque chose, qu\’il ne nous laisse pas indifférent ? Une musique qui met bien en valeur les paroles de Verlaine et un spleen que chacun d\’entre nous peut ressentir en hiver.Bonne journée Eva Bisous

    1 février 2010 à 15 h 24 min

  3. Loup-Blanc

    Hé oui, comme tu l\’a si joliment dit, la joie et la tristesse sont inséparable, un peu comme le Yin et le Yang, elle font partie d\’un tout et tu ne peux pas avoir l\’un sans l\’autre…Bon WE, moi je suis en vacances une semaine avec mes Loupiots, je te souhaite un doux et merveilleux WE, @+

    6 février 2010 à 11 h 54 min

  4. Carole Lombard

    que j\’aime cette musique, ces voix…tu te souviens nous l\’avions vu à Biarritz… Une expérience fascinante et bluffante.Eva je ne me souviens pas de t\’avoir jamais vu"e triste. Et pourtant les chagrins, les peines…et "le puits", le tien est vraiment profond pour ces "sujets"…tu as toujours ton sourire, ta dérision, ton humour, ta gaiété, bon j\’arrête!!j\’ai bien apprécié ce joli postje vais écouter de nouveau cette "chanson douce"kiss tout doux

    13 février 2010 à 0 h 51 min

Répondre à Le lampiste Annuler la réponse.